Fascination
|
|
| Un tour au cinéma [ PV : Antonin] | |
| | Auteur | Message |
---|
Elsadys Dirya Rose empoisonnée
Nombre de messages : 87 Age : 32 Localisation : Dans la rue ou jouant dans la forêt Date d'inscription : 09/08/2008
| Sujet: Un tour au cinéma [ PV : Antonin] Mer 13 Aoû - 6:20 | |
| Lys était encore toute endormie quand un bruit familier et répétitif se fit entendre. Un bruit que beaucoup de personnes à Forks devaient connaitre étant donné que ce bruit n'était autre que celui de la pluie. Aujourd'hu même, ils avaient droit à une pluie torrentielle. Génial, vraiment fantastique... Et dire qu'elle avait prévue de partir à la plage pour profiter d'une brève éclaircie. Ca commençait mal. Mais elle aurait dû s'en douter car, hier, quand elle avait regardé la météorologue montrer leur petite ville toujours sous les nuages, Lys n'en avait eu cure et s'était dit que ce n'était que des paroles en l'air puisque dans la journée, il y avait eu un moment de soleil. Tant pis pour elle, la plage serait pour une autre fois.
Se réveillant avec douceur, la jeune femme s'étira comme un chaton, avec un léger grognement et guise de baillement et regarda son réveil. Six heures, voilà ce qu'annonçait le cadrant numérique de couleur bleue. Oh non. Pourquoi cette heure-ci? Elsadys savait désormais que sa journée ne serait pas bonne car la veille, elle s'était couchée à une heure du matin. Pouurquoi? Tout simplement parce qu'elle avait passé la soirée chez un ami du lycée. Nolan, qu'il s'appelait. Il l'avait prévenue qu'ils ne seraient pas seuls et qu'il lui présenterait des amis à lui. Ce qu'il avait fait d'ailleur et tous les quatres avaient passé la soirée à s'amuser et à boire. Bref, quelque chose qui n'aidait pas quand on se faisait réveiller très tôt le matin par la pluie.
Maintenant debout et les yeux bien ouverts, Lys se dirigea d'un pas automate vers son armoire en bois d'ébène couvert des fins dessins faits à la feille d'or. Elle était glacée comme d'habitude et la main de la lycéenne ne s'attarda pas sur la porte imposante. A l'intérieur, il n'y avait que des vêtements, les siens bien sûr, et elle s'empressa de prendre un T-shirt à manches mi-longues et un jean moulant. Le tout était noir. Elle prit aussi par la même occasion ses sous-vêtements et se pressa vers la salle de bain. Cette dernière était déjà allumée et on pouvait voir en y entrant un baignoire en marbre nervuré incrustée dans le sol avec des robinets argentés. Une petite folie que ses parent s'étaient permis pour leur plaisir.
Il y avait déjà de l'eau qui fumait et Lys y entra avec délice. Prendre un bain l'avait toujours détendu et elle aimait la chaleur. Déjà, les brumes du sommeil partaient avec les volutes de fumée de l'eau, emportant avec elles un zeste de sa mauvaise humeur. Dès que l'eau reffroidit, Elsadys se vêtit vite et descendit les escaliers immenses qui menaient à une salle gigantèsque qui se trouvait être le salon. Il n'y avait personne à l'intérieur bien sûr car ses parents devaient être en train de sormir dans leur chambre et de faire elle ne savait pas trop quoi là-haut... La cuisine se trouvait un peu plus loin, séparée du salon par un mur de végétations. Des fleurs éxotiques de toutes les couleurs ornaient ce mur improvisé et elles donnaient de la vie à la pièce.
-Bon, il faudrait peut-être que je prépare mon petit déj moi... se dit Elsadys.
Ce qu'elle fit d'ailleur en attrapant un bol dans le vaisselier, une bouteille de lait dans le frigidaire et des céréales dans un placard. Elle mélangea le tout et mangea, la faim lui tiraillant l'estomac. Après dix minutes, elle prit un verre de jus de fruit et partit de la cuisine, se dirigeant vers la porte d'entrée. Elle attrapa au passage ses chaussures et un manteau tous aussi noirs que ses vêtements et s'en alla. Oui, elle aurait pu laisser un petit message à ses ârents pour les rassurer mais ils devaient avoir l'habitude à force de la voir sortir sans s'expliquer. Et puis ils devaient être trop occupés pour se soucier de son abscence.
Dehors, la pluie s'était calmée mais Elsadys enfila tout de même son manteau. Les mains dans les poches, elle prit le chemin goudronné qui menait à la route et de là, jusqu'à la ville. En même temps, elle regardait la forêt à côté d'elle. Celle qui lui était interdite d'accès et dont elle avait vraiment envie de fouler le sol. Sans s'en rendre compte, comme d'accoutumée, elle était déjà arrivée en ville et il y avait déjà du monde levé. Les voitures n'étaient pas aussi présentes que plus tard dans la journée mais déjà, il y avait des courageux qui partaent à leur travail. Dire qu'elle n'avait jamais pensé qu'on pouvait se lever à une telle heure pour aller gagner sa vie...
*Si j'ai un travail plus tard, jamais je ne me lèverai à une telle heure, ça c'est sûr ... pensa-t-elle*
La jeune fille déambulait dans les rues, en quête d'un activité quelconque pour pouvoir s'occuper, ou du moins pour pouvoir arrêter de tourner en rond en ne faisant pas grand chose. Tout de suite, le cinéma sur la chaussée opposée attira son attention. C'était une bonne idée de s'organiser une séance cinéma après tout. D'abord, il était ouvert, et ensuite, personne à cette heure ne viendrait la déranger. Parce que qui aurait l'idée d'aller voir un film à six heures du matin? Personne, enfin personne sauf elle. Encouragée par cette idée, elle traversa la rue sans faire attention aux voitures qui claxonnaient et à leur chauffeur qui proclamait des jurons bien sertis, et elle donna quelques pièces à la femme de l'accueuil qui les accepta sans broncher. La pauvre femme... Elle avait dû rester ici toute la soirée éveillée et maintenant, elle avait une sale tête...
Mais peu lui importait que cette dame avait mal dormit. Elsa regarda les fils à l'affiche et tomba sur un film d'horeur. Non, pas dès le matin. Le soir d'accord, mais là, il ne fallait pas pousser le bouchon. Et puis de toute façon, les horraires n'étaient pas bonnes, les séances s'étaient finies il y avait deux heures. Peut-être ce film policier qui faisait parler de lui et qui tournait en ce moment... Il avait commencé une demie heure plus tôt. Très bien, elle ne louperait pas grand chose puisque le plus important se déroulait après une heure de film. Dans la salle, il n'y avait personne, enfin à première vue. La jeune femme prit une place dans le centre, sur une rangée du fond et regarda le film. Elle était tant absorbée qu'elle se prenait pour se flic qui avait eu des problèmes et qui cherchait le coupable de ses ennuis... En ce moment même, le policier était en gros plan, dans le noir, dans un endroit glauque sur la piste d'un potentiel coupable. Le son était effrayant et quand soudain une chose apparut dans son champ de vision, Elsadys sursauta et hurla à faire sortir les morts de leur tombe. Quelle frousse elle venait d'avoir... | |
| | | Antonin Green God must hate me_
Nombre de messages : 114 Age : 31 Localisation : Nul part et partout à la fois. Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Un tour au cinéma [ PV : Antonin] Mer 13 Aoû - 8:38 | |
| La nuit commençait seulement à tomber sur Forks. Devant moi un miroir. Mon reflet est bien pathétique en ce moment. Mes pupilles sont couleurs ocre. La soif est une des choses les plus difficiles à supporter. Mais il le faut bien. Mais bientôt elle sera atténuée. Car après tout se soir ma sœur a aussi soif que moi. Il partie de chasse se prépare sans le moindre doute. Mais bon on n’ira pas bien loin pour cette fois. Dans la forêt il y a une prolifération de cerf. Ca suffira amplement même si on risque de royalement s’ennuyer. Vous pouvez trouver ça ignoble. Mais vous, vous vous nourrissez bien de viande non ? Votre corps à besoin de viande comme le notre à besoin de sang. Le plus ignoble serait de s’attaquer à un humain. Chose que nous ne fesont plus, en tout cas que nous évitons de faire. Après tout c’est grâce à notre volonté que nous nous nourrissons d’animaux. Devant le miroir, mon visage est des plus pâles sous mes yeux d’immense cernes ce qui a pour don de faire ressentir encore plus la couleur noir de mes pupilles. Un soupir s’échappe de mes lèvres. J’ai soif… Si soif. Tout à coup quelqu’un se faufile derrière moi alors que je me perds dans mes pensées.
|Céleste| « On n’y va ? »
Un sourire apparaît sur mon visage alors que je me tourne vers ma sœur. Elle-même affiche le même sourire que le miens. Notre envie de boire est plus forte que tout se soir. Et on ne fait qu’allait chasser pour nous empêcher de faire une chose impardonnable pour nous.
|Antonin| « Oui. Il est plus que temps d’y aller. On ne peut pas se retenir éternellement. »
On s’échange un sourire alors que d’un coup ma sœur disparaît de ma vue. Elle commence déjà à courir. Je ris avant de me mettre moi-même à courir, sortant de la maison sur les traces de ma sœur. En moins d’une minute j’arrive à la rejoindre. Après tout j’ai toujours été le plus rapide de nous deux. J’arrive à coté d’elle tout en lui donnant un coup de coude, j’accélère en riant. Je la sens derrière moi. Elle ne va surement pas encore me rattraper mais je lui jette un coup d’œil. Son regard est bestiale elle est déjà mentalement dans la chasse, je prie alors pour ne pas croiser d’humain dans le coin. Se serait la pire chose qu’il puisse nous arriver aujourd’hui. Je regarde de nouveau devant moi, mon odorat surdéveloppé se mettant en marche. Tout ce qui se trouve autour de nous je peux le sentir. La brise nous amène tant d’odeur. Mon instinct prenant doucement le dessus, mon regard se fait lui aussi plus sauvage, mon allure s’assouplissant considérablement tout en ayant la légèreté et la beauté d’un cerf. Mon met préféré il faut dire. Tout à coups je m’arrête, ma sœur faisant de même, une odeur m’arrive… Nous arrive… Un troupeau de biche non loin d’ici peut être 1km. Mais aussi la présence de plusieurs cerfs adultes. Un sourire en coin naissant sur mon visage. Puis je disparais à mon tour courant aussi vite que possible. Je distance très facilement ma sœur. J’aime avoir le choix de ma proie. J’aime tellement choisir sur laquelle je vais m’abattre. Un peu comme les félins qui choisissent la proie qu’ils vont courser celle là et pas une autre.
Je cours. L’adrénaline montant comme jamais en moi. Mon regard brillant d’une lueur des plus sauvages. Me voilà moi-même entré dans ma transe. Je pourrais tuer n’importe quoi maintenant. Tout à coup je m’arrête sur une branche d’arbre. Face à moi une prairie. Au moins une vingtaine de biche… Mais elles ne m’intéressent pas. Ce que je cherche c’est un cerf courageux un qui tentera de sauver sa vie autrement qu’en prenant la fuite. C’est plus amusant d’avoir de la difficulté que se soit si simple… Je hume l’air. Ma sœur arrive à coté de moi la branche tremblant sous l’impacte de son poids. Elle est aussi pressée que moi. Je lui lance un regard et d’un coup, nous nous séparons. Nous faisons le tour du troupeau. Mon regard regardant avec appétits les animaux. Je les regarde… J’imagine mon repas. Le repas que je vais bientôt avoir. Mon excitation ne fait que grimper de plus en plus maintenant. J’ai soif… Je vais traquer. Puis tuer. Pour enfin boire à m’en goinfrer. Tout à coup ma sœur passe à l’attaque. Elle a déjà repérer sa proie. Le troupeau commence à se disperser. Moi-même je me lance au milieu de la cohue. Le mâle devant les défendre ne risque pas de tarder. Je commence à courir entre les biches, les effrayants encore plus. Quand tout à coup m’apparaît le fameux cerf. D’immense bois sur la tête, une magnifique bête il faut dire. Je me lance vers lui, alors que ma sœur elle, attaque déjà son repas. L’odeur de sang me stimulant plus qu’autre chose. Je fais face au cerf un air des plus sauvages sur mon visage. Retroussant les lèvres, un grondement féroce nait dans le fond de ma gorge. Le cerf charge. J’évite et lui fonce dans les côtés alors qu’il décolle de quelques centimètres du sol. Il reste cependant sur ses pates. Il me fait de nouveau face, abaissant de manière agressive ses bois. Un sourire des plus animal sur mon visage apparaît. Alors que je m’apprête à lui bondir dessus, il charge de nouveau. Au dernier moment je fais un bond… Atterrie sur son dos avant de lui briser en un craquement sec la nuque. Mon repas est prêt…
Un long moment plus tard, je me relève. Le visage couvert de sang ainsi que mes affaires. Du revers de ma mange j’essuie ma bouche. Sur le sol se tiens maintenant le corps inerte sur cerfs. Je m’abaisse ayant retrouvé mes esprits et caresse doucement son pelage si doux. Je commence alors à lui murmurer les raisons de mon acte. Je me sens toujours comme obliger d’expliquer la raison de mon geste. Après quelques instant je regard autour de moi. Ma sœur se trouvant non loin de là, son regard étant devenue d’un caramel des plus tendres. Je lui souris puis on s’éclipse. Les pumas du coin vont s’occuper de faire disparaître les corps. Après quelques minutes, nous revoilà au manoir. Nous étions partie plusieurs heurs mine de rien. Je me replace devant le miroir. Du sang sur mes vêtements, mes yeux étant devenus couleur or. Maintenant je peux aller au lycée sans me soucier de ce que je risque de faire. Je me dirige vers la salle de bain où je me déshabille et passe sous la douche. L’eau coulant sur mon corps effaçant les marques de sang. Une fois propre comme un sous neuf, je me dirige vers ma chambre pour aller chercher des vétements. Un jeans noir avec pour haut au maillot blanc moulant permettant de deviner chaque contour de ma musculature. Sur ceux, je vais dans le salon pour jeter mes vêtements de ma chasse dans le feu. Comme toujours.
Mon regard se pose sur l’horloge. Il est maintenant 6h. Peu de temps avant notre arrivé la pluie avait commencé à tombé. Comme toujours dans notre bonne ville de Forks. Je me mets face à la fenêtre. Mon regard observant doucement la pluie qui tombe. La pluie qui relie le ciel à la terre. A cette pensée un fin sourire apparaît sur mon visage. Tout à coup Céleste, ma chère sœur, me dit.
|Céleste| « A quoi penses-tu ? » |Antonin| « A des tonnes de choses petits sœurs. Comme toujours… » |Céleste en souriant| « Et comme toujours tu ne me dirais pas lesquelles. »
Je tourne mon regard vers elle. Elle venait tout juste de sortir de la salle de bain pour jeter à son tour ses affaires dans le feu. Je lui souris tout en lui ébouriffant gentiment les cheveux. Elle s’échappe de ma main tout en prenant un air boudeur alors que je commence à rire. Je m’étire un peu avant de dire alors.
|Antonin| « Bon je vais faire un tour. J’ai besoin de me laisser perdre dans mes pensées. »
Céleste sourit alors. Elle comprend ce que je veux dire, après tout elle est habitué à me voir soudainement partir de la maison pour ne revenir quand bon me souhaite. J’attrape mes clefs de voiture, je me dirige vers le garage là où se trouve ma Bugatti Veyron 16.4, entièrement noir ayant les vitres teintés. Bon on pourrait la prendre pour une voiture de mafieux mais bon je l’aime cette voiture. Je monte dedans fait rougir le moteur avant de me diriger vers la bonne ville de Forks. La vitesse atteignant facilement les 200km/h. Après tout c’est la voiture la plus rapide au monde je peux bien en profiter un peu. Après quelques minutes à peine j’entre dans Forks, ralentissant alors à contre cœur pour atteindre les 50km/h. Ce n’est pas le moment de me faire arrêter par un policier. En plus j’ai oublié de prendre mes papiers alors. C’est pratiquement désert. Normal il n’est que 6h20 du matin. Je soupir. Que faire à cette heure ? Bon déjà pour commencer garer la voiture. Je me faufile sur une place au bord d’un trottoir. Je sors à de ma voiture tout en le fermant derrière moi. Puis je lève les yeux.
Face à moi. Le cinéma. Un sourire naît sur mes lèvres. Quoi de mieux qu’un bon film pour commencer cette journée ? Je m’approche et commence à regarder les films disponibles. Film à l’eau de rose ? Très peu pour moi. Un film d’horreur ? Hum. Non. Une comédie ? Pas envie. C’est alors que mon choix s’arrête sur un film policer. L’histoire d’un collectionneur qui kidnappe des femmes, les tortures puis les abandonnent en plein forêt aux animaux sauvage tout en lui rasant la tête… Bon ok c’est un poil psycho mais bon. Je me dirige vers la caisse. Une jeune femme s’y trouve, vue sa tête elle a dût passer la nuit ici. La pauvre. Je prends ma place et me dirige vers la salle. Qui est absolument vide. Bon vu l’heur j’aurais du m’y attendre tout de même. Je m’installe sur la dernière rangé au centre mais un peu plus sur le coté droit. Je m’étire alors que la lumière s’éteint et que le film commence. Dés le début on est mis dans l’ambiance. Une femme attachait sur une chaise alors qu’elle est dans un horrible état. Son visage lacéré de toute part et marche autour d’elle dans la pénombre un ombre qui la torture tout en lui parlant. Hum. Il n’a pas l’air innocent ce film là. Bien vite je fusse pris dans l’histoire. Les policiers retrouvent le corps de la jeune femme dans une forêt, attachée à un arbre alors qu’elle a était manger par des bêtes des environs. Je n’en rate pas une miette. Et l’enquête commence alors qu’une autre fille disparaît. Les policiers doivent retrouver l’homme avant qu’il ne tue de nouveau.
C’est alors que 30min plus tard, quelqu’un arrive dans la salle. Je détourne quelques secondes les yeux pour les poser sur la nouvelle venue. Moi étant dans l’ombre on ne me voyait surement pas. Elle monte et s’assoit à quelques sièges de moi à peine. Je repose mon attention sur l’écran. Bien vite l’histoire s’empare de nouveau de moi. Tout à coup la jeune femme pousse un crie me faisant sursauter par la même occasion. La frousse qu’elle vient de me faire ! Je ne peux m’empêcher de dire.
|Antonin| « Ca va pas de me faire peur comme ça ! X__x »
Pauvre de moi. Je tourne mon visage vers la jeune fille. Elle n’avait pas l’air de m’avoir vue. J’ajoute alors.
|Antonin| « Crier comme ça dans un tel moment. Tu veux ma mort là xD !! »
C’est vrai quoi. Si je pouvais mourir je serais raide mort là. | |
| | | Elsadys Dirya Rose empoisonnée
Nombre de messages : 87 Age : 32 Localisation : Dans la rue ou jouant dans la forêt Date d'inscription : 09/08/2008
| Sujet: Re: Un tour au cinéma [ PV : Antonin] Mer 13 Aoû - 9:43 | |
| ***Quelle frousse elle venait d'avoir*** Peut-être même la plus grande peur qu'elle ai jamais eu. Elle n'avait pas vu le méchant de l'histoire arriver et son apparition avec un couteau dans la main était des plus surprenants. En ce moment même, on le voyait en train de tenir une fille en otage. Sûrement pour la tuer elle aussi et elle s'en sortirait avec les secours. Mais tout de même... Avoir peur pour une chose si insignifiante, ce n'était pas dans les habitude d'Elsadys. Petite, elle n'avait peur de rien, c'était une vraie casse-cou. Même dans les situations les plus compliquées et les plus dangeureuses, elle s'en était sortie sans une frayeur. Vous ne la croyez pas? Je vous raconte si vous voulez... Elle devait avoir, quoi sept ans? Et avec ses parents, elle était allée se ballader dans la ville. Ils devaient aller je ne sais plus trop où, et ils ont pris tous les trois un raccourci. Sauf que le raccourci, c'était une ruelle malfamée (pas sûre de l'ortho') et des voyous étaient apparus devant eux, leur demandant de l'argent pour pouvoir passer indemnes. Ses parents étaient à la limite de se faire dans le pantalon et... Arrêtez, c'est aps drôle... Et Lys, elle s'est jetée la tête la première sur ce bandit des rues en lui donnant un coup de pied bien placé. L'homme s'était plié en deux en jurant contre elle et ses parents qu'il allait les tuer. Mais il ne pouvait pas faire grand chose, alors ses parents et Lys étaient partis en courant en sens inverse et l'histoire c'est finie là. Ils n'ont plus jamais revu cet homme... Et cette situation était effrayante pour quiconque à peur pour sa peau. Mais peut-être n'a-t-elle pas eu peur simplement parce qu'elle n'était qu'une enfant.Une autre chose lui fit peur, du moins la fit sursauter presque jusqu'au plafond. Vous ne savez pas ce que c'est? La voix qui a surgi soudainement dans son dos. Elle ne s'était pas attendue à ce qu'il y ait une personne dans la salle, et encore moins juste derrière elle. Elle aurait dû la voir et par dessus tout, l'entendre. Se retournant subitement, elle avisa un homme juste quelques sièges au dessus de sa tête. Il était grand, même aussi sur son fauteuil et d'une beauté certaine. Mais il avait l'air d'avoir vraiment eu peur à cause d'elle. Pourtant, elle n'avait pas l'habitude d'effrayer les gens, plutôt d'attirer leur sympathie. En plus, il l'accusait de vouloir sa mort... Mais pourquoi donc voudrait-elle tuer un si beau garçon? (^^')-Non, mais tu crois que j'ai fais exprès de crier comme ça? Enfin, vous... Et puis d'abord, je regarde un film et je ne savais pas que vous étiez là, donc ce n'est que de votre faute...Elle jouait les boudeuse, faisant la moue comme si elle était contrariée. Son nez se plissant légèrement et ses sourcils se rejoignant presque. D'abord, s'il n'était pas content, il n'avait qu'à s'en aller... Et puis, elle avait amplement le droit d'avoir peur quand ça lui chantait. Toujours à ses ruminations, Lys venait de louper un bout de la scène fatidique. Le moment où l'homme avec le couteau et la jeune femme se faisait prendre avec une facilité déconcertante alors qu'il avait luté jusqu'au bout pour garder son anonymat et là où le flic héroïque prenait la fille dans ses bras pour la réconforter. Un peu cul-cul, la fin tout de même.Et elle revenait dans le film en plein dans une phrase qui n'avait plus de sens désormais :-...Aller bien maintenant. Ne vous en faites plus. On va vous appeler une ambulance et appeler votre famille.-Mais je n'ai pas de famille...Et ça continuait ainsi pendant un bout de temps. On voyait l'ambulance qui arrivait avec perte et fracas, emportant la fille jusqu'à un hopital le plus proche. Elle aurait sans doute une thérapie avec un psychologue pour voir si elle n'avait pas eu de trouble mental suite à ce qui venait de se passer. Bien sûr, celles qui étaient mortes n'avaient pas eu cette chance et ne l'auraient sans doute jamais plus...Mais qu'est-ce qu'elle racontait... C'était des actrices, et les actrices ne mourraient pas pour de vrai, juste dans les films comme celui-ci. Celui-ci qui lui avait était en partie gachée. Dommage, pourtant, il avait l'air pas mal comme film. Il faudrait qu'elle revienne le voir un autre jour. A moins que, si il passait après cette scéance et que la femme du comptoir avachie sur son fauteuil ne venait pas vérifer si les cliens étaient partis, elle pourrait avoir une scéance gratuite.Elle se leva alors que les écritures blaches sur un fond noir déffilaient,remerciant tous ceux qui avaient conçus le film, les bruitages, les metteurs en scène, le producteur, ainsi que les acteurs et la compagnie qui avait pris le film. Au passage, elle laissa son regard trainer sur l'inconnu du dessus et lui lança un regard animal. Elle lui en voulait de lui avoir fait perdre une partie du film et ça devait se lire dans ses yeux expressifs. Entrebaillant la porte d'entrée, Lys vit que la femme était assoupie, la tête posée contre son siège et ses yeux à peine ouverts. Un filet de bave dégoulinait le long de sa joue. Prête à exploser de rire devant ce spéctacle trop naturel, Lys retourna dans la salle, sentant au passage un courant d'air alors que la porte venait de se fermer... Là où quelques secondes plus tôt, il y avait ce garçon qui avait crû mourir, se trouvait désormais un siège vide. Etrange, pourtant elle était sûre de ne pas l'avoir vu sortir. Mais après tout, qu'est-ce que ça pouvait lui faire... Il ne viendrait plus la déranger. Cette fois, la salle était complètement vide et elle alla tout à droite dans l'extrême coin en haut pour être sûre de ne plus gêner personne par ses cris. Mais elle n'allait sans doute plus avoir peur puisqu'elle connaissait plus des trois quart du film... Et après un autre courant d'air aussi étrange que tout à l'heure, les lumières s'éteignirent et le film se lança. Elle prit connaissance de ce qu'elle avait loupé et pile avant que la scène où elle avait hurlée tout à l'heure n'arrive, elle entendit juste à côté d'elle :-Tu ne vas pas crier cette fois-ci hein?Un sursaut de surprise s'empara de la lycéenne. Et dire qu'elle avait cru qu'il n'y avait personne. Mais le garçon, le même que tout à l'heure, était toujours là... D'où il venait bon dieu...? -Rah, mais non. Et d'abord, tu viens d'où? Je croyais que tu étais parti... Apparament non, murmura-t-elle. Et puis, si cette fois, il pouvait attendre un peu avant de parler, juste pour qu'elle voit ce qu'elle avait loupé. Quand le moment fut passé, Lys se tourna vers celui qui venait de parler et dit : -Bon maintenant tu me veux quoi... D'habitude je suis gentille mais là, j'ai un peu les nerfs alors évite de me chauffer s'il te plait. D'abord, c'était vrai non! Elle voulait se détendre au cinéma et on la dérangeait comme si de rien n'était. Et d'ailleur sa mauvaise humeur du matin qui était presque repartie revenant au grand galop. S'il ne trouvait pas une bonne raison... Gâre à lui... Parole d'Elsadys | |
| | | Antonin Green God must hate me_
Nombre de messages : 114 Age : 31 Localisation : Nul part et partout à la fois. Date d'inscription : 30/07/2008
| Sujet: Re: Un tour au cinéma [ PV : Antonin] Jeu 14 Aoû - 8:21 | |
| |Antonin| « Crier comme ça dans un tel moment. Tu veux ma mort là xD !! »
Bon apparemment elle ne m’avait absolument pas remarqué vue la frousse que je viens moi-même de lui faire subir. Vengeance mine de rien ! Après tout c’est elle qui a commencé à crié comme ça sans prévenir ! Mais bon je sens que je vais en prendre pour mon grade. Et oui car la jeune fille se retourne subitement vers moi. Elle m’observe. Alors je fais de même après tout elle s’en prive pas de m’observer ainsi alors je fais de même de mon coté. Malgré la faible lumière présente dans la salle on peu deviner qu’à la lumière du jour elle doit être plutôt mignonne. Et oui vu qu’elle a tourné son visage vers moi et qu’elle a donc la seule source de lumière dans le dos je ne la vois pas parfaitement ! Contrairement à elle qui doit réussir à distinguer pratiquement tout mes traits. Après quelques secondes, mon regard se pose sur celui de la jeune fille alors qu’un fin sourire apparaît sur mon visage. C’est alors qu’elle me lance.
|Lys| -Non, mais tu crois que j'ai fais exprès de crier comme ça? Enfin, vous... Et puis d'abord, je regarde un film et je ne savais pas que vous étiez là, donc ce n'est que de votre faute...
Oh. Vouvoiement. Je fais si vieux que ça ? Bon ok j’ai 200ans normalement mais bon j’en fais que 17 voir 18 au grand maximum ! Ce vouvoiement fais que d’un coup je me sens bien vieux. Je ris silencieusement sur le coup alors qu’elle se retourne en faisant mine de bouder. Cette réaction je fais rire encore plus, toujours silencieusement. Après tout nous sommes au cinéma non ? Je repose mon regard sur l’écran de cinéma alors qu’un soupir s’échappe de mes lèvres. Une histoire qui finit si pitoyablement. Bah. Les films ne sont plus ce qu’ils sont de nos jours ! Certes les effets spéciaux sont bien mais bon après l’histoire… Encore le début en lui-même promettais prometteur ! L’histoire du kidnapping et de la torture des victimes par un collectionneur. Mais bon il faut croire que le collectionneur a été un peu bâclé. En général un homme comme lui ne se ferait pas avoir si facilement alors qu’il faisait tout pour garder son fichu anonymat ! Les films ne sont vraiment plus ce qu’ils étaient. Je m’étire tranquillement alors que le héro prend dans ses bras la pauvre chose qui sanglote encore. Enfin si on peut appeler ça sangloté ! En dirait plus qu’elle fait de stupide grimace qu’autres chose. Un peu de réalisme c’est trop demandé pour cette scène ?!
La suite continue alors l’arrivé des ambulances. Et la question idiote toujours posé à la victime. Si elle va bien ou pas. Franchement ? C’est quoi ces questions ? Ils croient qu’elle va surement leur répondre : ‘’Oh merci mais ça va, j’ai juste envie d’une glace italienne vous croyez que je peux en trouver dans le coin ?’’ Quoi que ça serait comique si elle leur dirait ça ! Mais bon ça casserait totalement l’image de la jeune et belle femme qui vient de se faire sauver d’une mort certaine ! Et aussi. Pourquoi toujours prendre des blondes avec un tour de poitrine en dehors de la normal pour les victimes ? Bon ok, ça peut attirer l’œil. Mais bon, s’il pourrait choisir des actrices plus normales dans leur forme se serait pas de refus. Rah les films Américains par moment. Mais bon faut dire que dans les autres pays ils ne sont pas aussi doué ! Enfin si peut être les films chinois qui ont un minimum de classe. Enfin la fin du film. Les lumières de la salle s’allument petit à petit. La jeune fille se lève tout en me lançant un regard animal. Ouh. Heureusement que ce n’est pas un vampire sinon elle m’aurait sans doute déjà découpé en morceau. J’affiche un simple sourire à sa provocation. Un sourire d’amusement pur et simple. Et comme je le pensais une fois son visage visible elle est plutôt jolie.
Je la suis du regard alors qu’elle se dirige vers la porte. Je me relève moi-même. C’est alors que mon intuition me dis que je devrais aller jeter un coup d’œil à ma voiture et tout de suite. Ma voiture… Tout à coup je disparais tel un courant d’air je sors de la salle de cinéma passant à quelques minimètres de la jeune fille. Je venais tout juste de me mettre à courir et oui rien que ça ! En quelques seconds mêmes pas je me retrouve dehors. Et je braque mon regard sur ma voiture. Là autour de mon bébé [xD] se trouvent 3 lascars. Mais si tu vois les garçons qui se croivent les plus beaux, les plus fort et les plus intelligent ? Alors qu’ils devraient se regarder plus souvent dans la glace, qu’un maternelle peut leur faire une prise de judo pour les mettre KO et que leur cerveau est aussi bien que celui d’un poisson rouge ? Voilà ce genre de gars qui se trouve autour de ma tendre moitié [xD Non il l’aime pas sa voiture] ? Je m’avance d’un pas tranquille alors que l’un deux s’appuie dessus.
|Antonin| « Hep tête de poulpe. Tu peux éviter d’abimer ma voiture par ta présence ? » |Tête de Poulpe| « Qu’est ce que tu me veux toi ?! Je me mets où je veux. » |Antonin avec un sourire en coin| « Non je crois pas. Maintenant tu t’éloignes avec ta bande avant que je décide de vraiment m’énerver. » |Tête de Poulpe| « Hey les gars. Vous avez entendu ça ? On va te faire ta fête… » |Antonin en riant| « Essaie toujours. Si tu arrives à me blesser je te cède ma voiture tiens ! »
Tête de poulpe s’approche de moi. Je le regarde avec un immense sourire, tout en essayant de retenir mon hilarité grandissante. Un simple humain ne peu absolument RIEN contre moi. Mais moi je peux tout contre lui. Mais je ne vais pas le tuer faut pas abuser, juste lui faire comprendre de partir. Il s’approche et d’un coup sort un couteau. Tiens. C’est un violent celui là. J’ai bien fait d’aller me nourrir cette nuit ! Sinon il aurait finis comme petit déjeuner. Il commence à donner des coups de couteaux que j’évite facilement. D’un coup je lui attrape le poignet que je broie très légèrement. Il affiche un rictus tout en lâchant son couteau je lui donne un coup de genou dans l’estomac, un coup très peu puissant par rapport à ma véritablement effort mais assez pour le mettre tranquillement à terre. Puis je me retourne vers ses deux acolytes alors que l’un deux s’approche je le met hors jeu tout aussi simplement toujours en faisant mine d’être un simple humain fort en combat. On va vraiment me prendre pour un mafieux si je continue… Le troisième quand à lui s’échappe. J’affiche un sourire satisfait tout en jetant un coup d’œil à ma voiture elle n’a rien. Je me dirige de nouveau vers le cinéma une fois devant l’entrée. Comme un coup de vent je me déplace de nouveau, direction la salle.
J’entre dans la salle et facilement repère la jeune femme sans ralentir, je passe à coté d’elle et avec le silence de la nuit je me place sur la ranger juste derrière elle. Elle ne m’avait même pas remarqué. Le film recommence. Alors qu’elle le regarde moi je l’observe. J’observe ses réactions tranquillement. Elle peut être dangereuse quand elle veut, mais elle ne risque pas de faire faire bien mal à moi. Peut être pour ça que je me sens si tranquille sur mon siège ? C’est vrai que si j’aurais encore était humain je n’aurais pas cherché à lui reparler la jugeant comme non fréquentable peut être ? Mais là j’ai envie de lui reparler. Peut être pour essayer de comprendre ses réactions ? Je ne sais pas. C’est alors que le moment arrive où elle avait crié. Doucement je me penche vers elle. Pour lui dire doucement alors amusement.
|Antonin| « Tu ne vas pas crier cette fois-ci dis moi ? »
Elle sursaute de surprise. Elle m’amuse. C’est rare pour une humaine de réussir à m’amuser comme ça. Enfin si les 3 lascars eux aussi m’ont amusé mais pas au même degré que cette jeune fille. Sa réaction m’amuse. Elle me murmure alors pour simple réponse.
|Lys| -Rah, mais non. Et d'abord, tu viens d'où? Je croyais que tu étais parti... Apparemment non.
J’affiche un simplement sourire. D’où je viens ? Hey. Je suis là depuis le début du film. Pas de ma faute si elle n’a pas remarqué ma venue. Doucement je me lève et vais m’installer au même rang qu’elle à un siège d’elle exactement. Bon je ne vais pas non plus prendre place à coté d’elle. Je ne suis pas là pour la draguer. Enfin ce n’est pas mon idée du moment alors. Je la laisse regarder le moment qu’elle avait déjà manquer. Je pense qu’elle m’en voudrait véritablement si de nouveau je l’en empêcher. Une fois son moment vue, elle se tourne vers moi et me dis alors.
|Lys| -Bon maintenant tu me veux quoi... D'habitude je suis gentille mais là, j'ai un peu les nerfs alors évite de me chauffer s'il te plait.
Je me retiens de rire. La chauffer ? Si je fais ça et qu’on en arrive aux mains elle n’aura aucune chance. De plus je ne cherche pas les filles. Simple question de règle. Je la regarde quelques secondes posant mon regard doré sur le sien avant de dire alors.
|Antonin| « Tu t’es d’abord demandé d’où je viens. Pour tout te dire que je suis là depuis que la nouvelle séance à commencer c’est juste toi qui ne m’a pas remarqué. Et pourtant je regarde le film de ce siège juste derrière toi depuis le début. *Sourire* Et ce que je te veux ? Parler tout simplement. Tu as ouvert ma curiosité te concernant rien de plus. Et il n’est pas dans mon intérêt ni du tiens que je commence à te ‘chauffer’ comme tu le dis. »
J’affiche alors un sourire. Dans ma voix aucun signe d’agressivité ou une once quelconque. Juste d’un ton sympathique. Après tout je suis de bonne humeur. Puis j’ajoute alors. Histoire de confirmer mes dires.
|Antonin| « Je suis Antonin. Tout juste débarquer à Forks depuis quelques jours. Et toi ? »
Je souris de nouveau. Puis l’écoute se présenter. [=P]
|Antonin| « Enchanté ! »
C’est alors qu’une troupe entre dans la salle. La scène fait que la pénombre se fait. Les deux étant dans un coin ils sont pratiquement invisibles. Je chuchote alors simplement.
|Antonin| « Ah non pas eux… Apparemment ils en veulent encore… »
Et oui les lascars accompagné de plusieurs autres copains. Ils sont peut être une dizaine maintenant. Je soupir. S’ils ne nous voient pas tout se passera bien. S’ils nous voient je serais obligé d’être plus méchant avec eux.
[A toi de décider si on va se faire voir ou pas =PP] | |
| | | Elsadys Dirya Rose empoisonnée
Nombre de messages : 87 Age : 32 Localisation : Dans la rue ou jouant dans la forêt Date d'inscription : 09/08/2008
| Sujet: Re: Un tour au cinéma [ PV : Antonin] Jeu 14 Aoû - 16:29 | |
| *** Oui, s'il ne trouvait pas une raison... Gâre à lui... Parole d'Elsadys Dirya*** Quand la jeune femme avait parlé de vive voix, avec des menaces sous-entendues bien comprises, ce garçon bizarre qui était toujours à côté d'elle sortit de nulle part souriait de toutes ses dents, un air amusé affiché sur son visage. Oh, mais qu'est-ce qu'il avait à rire celui là, hein? C'était de voir une fille d'apparence fragile qui mordait comme une chienne? Ou sûrement parce qu'elle n'avait vraiment pas l'air crédible dans le rôle de la fille méchante... Pourtant, s'il savait que Lys se baladait avec un couteau caché à sa ceinture, il ne rigolerait plus du tout. Et ce n'était pas de la camelote son couteau... Une sorte de poignard fin et long, bien affuté quasiment tous les jours au cas où une personne dôtées de mauvaises intentions à son égard viendrait lui chercher des noises. La jeune demoiselle en avait surpris plus d'un comme ça. Mais elle ne se doutait pas du tout en cet instant que cette personne était largement supérieure à elle en ce qui concernait la force. Après tout, pour elle, les vampires n'étaient que des êtres sortis de l'immaginaire des auteurs et elle ne doutait pas un seul instant qu'il puisse en exister un seul. Il n'avait toujours pas répondu à ses questions et elle était sur le point de quitter la pièce, en ignorant totalement sa présence, comme si'l n'avait jamais été présent dans la pièce. Mais il avait sans doute deviné qu'elle était sur le point de partir et il se présenta en bonne et due forme : -Tu t’es d’abord demandé d’où je viens. Pour tout te dire que je suis là depuis que la nouvelle scéance a commencé c’est juste toi qui ne m’a pas remarqué. Et pourtant je regarde le film de ce siège juste derrière toi depuis le début. *Sourire* Et ce que je te veux ? Parler tout simplement. Tu as ouvert ma curiosité te concernant rien de plus. Et il n’est pas dans mon intérêt ni du tiens que je commence à te ‘chauffer’ comme tu le dis. Non, il était sûrement en train de la baratiner là... Comment il avait pu être là à la deuxième scéance alors qu'elle avait regardé attentivement la salle de cinéma sans y avoir trouvé âme qui vive. Suspiscieuse, Lys le regarda à travers ses yeux plissés. Elle se tourna totalement vers lui et lui la regardait partiellement. L'écran de cinéma éclairait une partie de sa tête irréelle, tandis que l'autre partie faisait partie de l'ombre. Bizarre comme vision... Lys s'immaginait qu'il était une sorte de personne mi-ange mi-démon, elle devenait totalement folle. Mais c'était aussi l'éclairage qui faisait ça. Revenant à ce qu'il avait dit, la lycéenne eut un sourire moqueur. Il venait de lui dire qu'elle avait éveillé sa curiosité et qu'il ne voulait pas la chauffer, selon ses termes à elle. Donc il lui en fallait peu pour être interressé. Dire qu'elle n'avait que seulement sursauté. Mais elle ne pouvait pas le critiquer sur ce point car elle était elle-même une fille très curieuse, TROP curieuse. Si bien que lui aussi trouva un certain interêt autre qu'un gars rencontré dans un cinéma. Pourquoi il voulait lui parler à elle au point de rester deux scéances ici...? Mais peut-être se faisait-elle des idées. Alors qu'elle regardait encore une fois l'écran de visionage, il lui dit son prénom et lui confia qu'il n'était présent dans la petite ville pluvieuse de Forks. Le pauvre, s'il avait cherché des sentations fortes à vivre, il aurait dû enménager autre part car Forks n'était pas forcément si intéressante que ça. En faisant abstraction de la pluie et du mauvais temps continu, elle avait certes un certain charme. Son paysage tranquille appaisait Lys, et le peu de problèmes qu'on rencontrait ici n'était pas pour lui déplaire. Et puis, c'était ici qu'elle était née. Ici où elle avait appris tout ce qu'elle savait à présent. Ici où elle était passé du stade de jeune fille innocente, à jeune femme épanouie et farouche. Décidant que lui répondre ne ferait de mal à personne Elsadys chuchota sur le ton de la confidence : -Hum, moi? Je suis ici depuis toujours. Enfin... On peut dire ça. Je suis née ici et j'ai fais ma vie dans cette petite ville. Mais qu'est-ce qui t'as entrainné à venir ici, à Forks? Continuant sur sa lancée, puisque Antonin, le nom qu'il avait dit pour se présenter, attendait plus qu'une simple phrase, la jeune fille dit : -Et bien, je suis au lycée ici maintenant, j'ai dix-neuf ans... Une vieille quoi, rigola Lys en tirant la langue. Je ne sais pas pourquoi je dis ça en plus... Je ne te connais pas après tout. Mais puisque tu es enchanté... Alors moi aussi. Ah, et au fait. Je m'appelle Els... Hum, Jude. Appelle-moi Jude, ok? Pour une raison de protection sans doute innutile, elle préférait ne pas donner son premier nom. Et puis après tout, elle faisait comme elle voulait non? Ce n'était pas interdit par la loi =P. (pas encore ^^') Mais Elsadys ne resta pas sur ses constatations. Des personnes étaient entrées dans le cinéma. En grand nombre... Et elles semblaient chercher quelque chose. Lys s'enfonça un peu plus dans son siège quand elle vit les airs mauvais de la bande de garçons. Il n'étaient sûrement pas venus ici pour regarder un film aussi quelconque que celui-ci. Mais qu'est-ce qu'ils voulaient alors? Jetant un regard douteux sur Antonin, elle lui demanda tout bas : -Et euh, ce sont des amis à toi? Parce qu'ils ne sont pas là pour le film et je ne les connais pas... Elle n'eut pas le temps de l'entendre répondre. Déjà la troupe de moutons qu'ils formaient les avaient repéré et un des perturbateurs s'était écrié : -Lui, c'est lui les mecs, buttez-le... Et ne laissez pas partir la minette avec lui! Oh non... Ca promettait des ennuis en perspective. Se levant de son siège avec précipitation, Lys ne ce préoccupa pas de sa nouvelle rencontre. Elle ne voulait pas faire partie des problèmes qui risquaient d'arriver et elle se tient prête à agir, son couteau bien en main. Déjà, elle s'élançait vers la sortie mais elle savait qu'elle aurait peu de chance de s'en sortir indemne. Alors se tournant, dos au mur, Elle brandit son arme devant elle, dans un accès de courage et menaça le groupe. -Si vous tenez à vos bijoux, foutez-moi la paix, je ne suis pas une faible femme. Et les autres rigolaient. Elle entendit meêm : "eh vous entendez les mecs, elle nous menace..." Ils ne la croyaient pas? Et bien soit, ce serait un point faible pour eux. Déjà, le groupe se sindait en deux, pour Antonin et pour elle. Mais deux de ses adversaires étaient blessés. Un avantage dont elle ne cracherait pas dessus. Se jetant sur ses assaillant avec un cris de guerre, Lys se défendit comme une furie, attaquant les trois gars au visage et aux endroits plus faibles pour les garçons. Ils esquivaient au dernier moment, prenant conscience qu'ils l'avaient sous-estimée. Mais pendant qu'ils reculaient, la jeune femme se rappela qu'elle n'était pas seule. Laissant son regard érer autour d'elle, elle vit des corps voler et des cris retentir dans le fond. Là où elle se tenait précédement. Mince, celui qui l'avait surprise devait avoir des ennuis... Mais elle ne pouvait pas l'aider, elle en avait déjà assez à faire avec les trois gaillards devant elle. Trop tard. Elle s'était fait prendre par derrière. Son moment d'innatentions était presque fatal. Mais elle avait toujours son arme en main et taillada les avant bras de son agresseur. L'entendant hurler mais ne le sentant pas lacher prise, Elsadys projeta sa tête en arrière, écoutant un craquement sinistre retentir, suivit de près par un poussée de jurons *BIIIIP* (^^') Elle s'aida des bras qui la tenaient pour lancer ses pieds devant elle, atteignant son but à plusieurs reprises. Celui de devant s'était recourbé, à genoux sur le sol, il la traitait de tous les noms. Mais il y en avait un dernier et, elle ne savait comment, elle avait perdue son couteau pendant la bataille. Le dernier s'approcha, enjambant son camarade. -Tu es une coriace ma jolie. Si tu n'étais pas si méchante avec mes potes, je pense que j'aurai été plus gentil... Elle ne vit pas la claque retentissante venir et son visage fut projeté sur le côté, sa joue la cuisant. Elle ne s'en sortirait pas toute seule. Désespérant, elle ferma les yeux et fit face à son adversaire. -Vas- y cogne moi si ça peut flatter ton égo. Ordure! Mais sache que je t'ai vu... Tu le regrettera plus tard. Elle subit un volée d'autres coups, plus violents les uns que les autres puis soudain, elle ne sentit plus rien. Ouvrant les yeux, elle vit qu'elle se trouvait à genoux, aux pieds d'un personne. Oh, non. Il allait la battre à mort. Cherchant son couteau, elle le saisit un peu plus loin et tenta en vain de se protéger. Mais ce n'était pas celui qui l'avait tappé plus tôt... [hum, j'espère que ça te conviens? ^^'] | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Un tour au cinéma [ PV : Antonin] | |
| |
| | | | Un tour au cinéma [ PV : Antonin] | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|