Mauvaise même très mauvaise journée [osée] (Jeffrey)

Dimanche matin 8:30

Élizabeth n’est couchée que depuis trois heures quand son père cogne a sa porte, il l’ouvre sans vraiment attendre que sa fille ne lui réponde.

-Allez debout aujourd’hui nous devons tous être a l’Église....
-Je ne veut pas y aller je veut dormir...
-Non, pas aujourd’hui tu va venir avec toute la famille et nous allons au restaurant ensuite il n’y a pas rien qui va faire changer cela ton frère et sa femme reparte aujourd’hui tu pourrais faire un effort pour une fois...Je veut que tu sois prête dans dix minutes...

Élizabeth n’avait pas vu son père en colère depuis bien longtemps, mais elle reconnaissais la voix qu’il avait a ce moment là. Elle se leva de peine et de misère, comment pouvait t-elle leur dire qu’elle ne croyait pas en ce que l’Église leur disait a propos de Dieux. Oui elle pensait qu’il existait, mais l’Église catholique n’était pas vrai elle mentait depuis des siècle elle en était sûre. Elle se dirigea vers sa salle de bain question de prendre une douche très froide. Après quelque minutes de cette thérapie elle retourna dans sa chambre habiller simplement d’une serviette, elle ouvrit les porte de sa penderie, pour choisir les vêtements qu’elle porterai. Le choix fût plus complexe qu’à l’habitude, elle vota finalement pour une de petite robe qu’elle aimait plus que tout. Cette dernière était dans les tons de rose, ce qui pouvait ne pas très bien passé pour étant un vêtement gothique, elle mis des souliers a plate formes assez hauts qui semblait être fait pour aller avec. Puis elle mis des gants blanc qui montait jusqu’au niveau de ses coudes. Elle se regarda dans son grand miroir attacha ses longs cheveux et monta a l’étage, elle semblait réellement être une poupée de porcelaine, avec son teint si blanc. Le reste de sa famille était habiller de façon propre, tous standards rien qui pouvait être provoquant ou même déplacer. Elle senti le regard désapprobateur de sa mère. Mais il ne leur restait pas assez de temps pour qu’elle retourne changer de vêtement donc il quittèrent leur maison en silence.

La journée fût des plus normal, des regards noirs sur la jeunes femmes de personnes qu’elle ne connaissais pas et qu’elle ne souhaitait pas connaître. Puis ils allèrent tous faire un tour dans les boutiques, Élizabeth traînait toujours un peu du pieds, toutes sa famille semblant fort bien s’amuser. Elle était pensive et ne voulait pas être là avec eux. Puis il allèrent porter son frère et sa femme a l’aéroport. Enfin une partie de sa vie allait retrouver son calme habituelle. Dans l’automobile a leur retour a la maison le ton monta rapidement et la situation changea.

-Élizabeth je trouve que tu aurait pu faire un effort pour être un peu plus gentille avec tout le monde durant les vacances de ton frère. Tu ne pourrait pas non plus sortir habiller comme tout le monde.
-Maman je m’habille comme je le veut... Et je n’ai rien fait de mal...
-Tu n’a pratiquement pas ouvert la bouche pour parler a ta belle soeur elle fais maintenant partie de la famille... Et pour ton habillement parlons ens... Tu peu trouver cela jolie, mais a la longueur de ta jupe la seule chose que tu va provoquer es de te faire violer par un vieux pervers qui aimerais que tu sois vraiment une petite fille, tu n’a jamais pensé a sa ou quoi... Tu ressemble presque a une fille de revue pornographique pour pédophile... Je ne suis pas fière de toi en ce moment....

Élizabeth ne fût pas capable de répondre, elle pris son sac a la première lumière que son père arrêta elle sorti de la voiture et parti en courant a travers les ruelles. Elle les connaissait depuis longtemps comme le fond de sa main. Elle regarda quelque fois par dessus son épaule mais personne ne se trouvait derrière elle. Sa mère cette fois avait été trop loin elle n’avait pas eu le choix de sa journée, elle avait fais de grand effort pour ne pas ressembler a un monstre comme ses frères l’appelait quand elle n’était vêtu que de noir et la ce faire traitée comme une prostituer par sa propre mère. Non sa n’allait pas du tout, que quelque un qu’elle ne connaissait pas pense cela d’elle, sa ne lui dérangeait pas mais sa mère. Une mère n’était pas supposé aimé ses enfants malgré tout. Elle arrêta sa course elle reprenait tant bien que mal sa respiration, puis elle entendu des bruits de pas rapide derrière elle. Sa devait certainement être Jeffrey, elle se senti pousser contre un mur, elle voulu crier mais une main était déjà sur sa bouche. Elle ne pouvait pas bouger, elle senti le souffle sur la peau de son cou, ce n’était pas Jeffrey, elle se mit de plus en plus a se débattre l’autre main de l’homme parcourait son corps. L’homme la tourna face a lui, elle ne l’avait jamais vu, il était grand les cheveux foncé, elle voulu le pousser pour qu’elle puissent s’enfuir mais il la frappa. Il lui pris les mains pour qu’elle ne bouge pas, un autre homme était la il s’avança il tenait une cravate dans ses mains il lui mit sur la bouche et la serra très fort pour l’empêcher de crier. Un des hommes la tenait tandis que l’autre tentait de lui enlever son corset. Elle ne pouvait que pleurer, elle ferma les yeux que pouvait telle faire contre deux hommes.


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Elle senti les deux hommes qui arrêtait tout d’un coup elle ouvrit un eu les yeux et vu une silhouette elle ne pu faire autre chose que s’écrouler au sol. Elle aurait simplement pleurer mais aucune larme ne semblait vouloir couler peut-être simplement par fierté. Puis elle entendu un grand bruit, dans une ruelle toute proche pas celle d’un combat simplement celle ou un lourd poids aurait tombé dans une poubelle. Elle entendu des bruits de pas revenir vers elle. Élizabeth ouvrit les yeux et vu Jeffrey, il avait les mains couvertes de sang, le sang des hommes qui lui avait voulu du mal. Il lui parla sur un ton empli de colère. ‘’-Je te le dit pour la deuxieme fois: Tu veux te faire violer,idiote?! Te promener dans une ruelle,la nuit...et par tout les vampires... Autes moi cette tenue horrible de mes yeux,je crois que je vais vomir... J'ai l'esclave de sang la plus idiotes qui existe...’’

Sur ces mots la jeune fille se mit a pleurer sa mère lui avait dit presque la même chose. Elle aurait du écouter les paroles de sa mère rien de cela ne serai arriver. Pourquoi était telle si idiote, sa vie ne se résumait pour le moment qu’à une suite d’erreur ne pouvait telle pas faire quelque chose de bien. Son maquillage devait avoir complètement couler sous toutes les larmes que la jeune femme ne pouvait contenir. Elle ne voulait plus rien savoir, si ce n’est que du réconfort qu’elle ne pourrais certainement pas trouver. Elle n’était maintenant qu’une petite chose en pleur dans une sombre ruelle. Les gens lui disait qu’elle n’était rien, tellement de gens lui avait dit qu’elle était laide qu’au bout d’un moment elle n’avait voulu que s’effacer. Et aujourd’hui elle ne voulait qu’être ce qu’elle voulait une petite fille. Elle l’était bel et bien une petite fille sans défense au griffes d’un monstre assoiffée de sang ou au griffes des hommes qui la voyait belle dans ses petites robes de princesse. Depuis peu elle avait reçu des compliments d’homme sur son physique mais elle ne savait comment les prendre ni quoi faire de ce corps qu’elle détestait tant. Si elle aurait été capable de l’accepter peut-être que toutes les douleurs qu’elle ressentait n’existerait pas. Elle ne pu rien dire d’autre que quelque mots a travers ses larmes et ses pleurs. Elle qui voulait toujours paraître forte, qui était si froide avec les gens n’était plus rien en ce moment fatidique.

-Je suis désolé...

suite a la maison des Selvaggio....