De plus en plus exténuante les journées à l’hôpital. Effectivement, il semblait qu’une plaie s’abatée en se moment sur Forks. Beaucoup de gens était blessé la nuit dans certaine rue sombre de la ville. Carlisle se demandait bien ce qui pouvait se passer et avait une petite idée sur la question. Pour autant il continua son travaille. Il avait une garde de jour mais il était resté un peu plus tard pour pouvoir comme a son habitude remplir la paperasse. Il s’était plongé dans l’étude d’un cas assez délicat, une opération de la valve aortique chez une jeune patiente a peine âgé de cinq. La pauvre jeune fille allait se faire ouvrir le thorax ce qui laisserait bien sûr a cette place il y aurait une grande cicatrice très peux esthétique et Carlisle avait a cœur aussi qu’après l’opération il l’orienterait vers un chirurgien reconstructeur afin d’atténuer le plus possible la cicatrice. Il regarder la liste des meilleurs dans se domaine quand il eut l’idée de regarder l’heure. Il était déjà 21h45. Carlisle s’étonna, il n’avait pas vu l’heure passer. Sa chère et tendre devait l’attendre. Il aurait du finir son service vers 18 heures. Il ferma rapidement son bureau et se dirigea les plus vite possible vers le parking afin de retrouver sa Mercedes. Il y entra et conduisit assez vite.
A 22heures il était déjà la maison. Celle-ci semblait vide. Il y avait bien sur des lumières pourtant il ne sentait l’odeur que d’une seule personne, sa chère et tendre Esmée. Il eut un léger sourire et sortie de sa voiture. Il attrapa sa mallette et se dirigea vers la porte d’entré grâce a des grandes enjambées gracieuse et souple. Il ouvrit alors la porte et se qu’il avait sentit dehors se confirma. Les odeurs de ses enfants avait déserté la maison depuis un moment, elles étaient moins prononcé qu’a l’accoutumé quand ils étaient là, elles étaient froide. Seule une odeur était forte e t chaude. L’odeur de sa femme. Il se dirigea alors vers le salon et la vit. Elle était radieuse comme tous le temps. Ses yeux étaient d’une limpidité déconcertante pour tout autre être humain et même encor pour Carlisle. Ces yeux aussi, traduisait qu’elle était partie chassé il n’y avait pas longtemps et même il y avait quelques heures. Pour lui sa femme était l’être le plus magnifique au monde, Avec tant de qualité et si peut de défaut. Elle était elle aussi magnifiquement belle et pour Carlisle, Rosalie n’égaler pas Esmée. Les yeux de l’amour… Et puis elle était tellement douce et bien sur cette douceur se faisait ressentir sur chaque petite parcelle de son visage. Carlisle lui offrit un sourire des plus radieux et s’avança vers elle. En moins d’une minute il était prés d’elle. Il posa sa mallette sur un des canapés et déposa un baiser sur les lèvres de sa dulcinée. Puis il la salua avec une voix des plus douces. Autant jouer les amoureux transit ouvertement, puisque leurs enfants n’étaient pas là :
Comment vas-tu ?
Le jeune médecin porta sa main jusqu’a ses doux cheveux de sa compagne et se mit à les caresser tous doucement, comme si ce qu’il avait devant lui était une chose des plus fragiles, comme un vase antique chinois, et qui de fait est un bien précieux. Il s’excusa ensuite de son retard. Il se disait bien que parfois Esmée devait s’ennuyer a rester la toute la journée. A s’occupée du ménage etc …
Je suis désolé de rentrer si tard. Je t’avais dit que j’avais un service de jour aujourd’hui mais je n’aie pas vu l’heure passer pencher sur un dossier.
Il lui adressa un nouveau sourire de plus doux afin de se faire pardonner.