Rosalie reconnu l'alure calme de sa mère, à coup sur c'était elle qui était derrière la porte, lorsque celle ci s'ouvrit, des expression contradictoire défilère sur le visage de Rosalie.
La douleur qui se tenait enfermé depuis si longtemps dans son petit cœur surgit comme un loup affamé, avide de souffrance, les babines retroussées, les yeux redoutables, les crocs acérés. Le poison si souvent apprivoisé, tranquille et sans manifestation avait ressurgit des oubliettes et infiltrait le sang de la jeune femme. Alors son corps endurait une manœuvre horrible de contorsion crée par les rapetissement des membres, resserrant ses organes jusqu'à ce que son coeur ne deviennent qu'un débris de poussière. L'âme trop longtemps torturée se débattit aussi bien qu'elle le put pour ne pas subir le même sort que sa sœur, la chaire. Jamais elle ne voudrait endurée cette souffrance ! Jamais plus elle ne voulait revoir ces images, entrapercevoir se souvenir monstrueux... Mais l'esprit maléfique déclenché par ses actes passé avide de s’encrer dans le présent était beaucoup plus puissant que l'âme elle-même. Au bout de quelques secondes de retenue, elle céda sous les terribles attaques.
-Qu'est ce que tu veut? demanda-t-elle à sa mère avec toute la froideur dont elle était capable.
Il était difficile de comprendre les pensées de la jeune fille lorsque son coeur, lui-même était embrumé. Comme si l'ont désirait attraper de la fumée entre les mains: elle s'échappe instantanément. A vrai dire, elle ne cherchait pas réellement à découvrir le pourquoi de cette lassitude maladive. A quoi bon cela lui aurait-il servit ? Les révélations auraient fusés et elle n'aurait acceptée cette vision médiocre d'elle même. Son amour-propre, aussi petit soit-il, ne désirait pas être détérioré par la vérité. Et pour elle, cette vérité était incarnée par Esmée qui se tenait la, devant elle et déjà Rosalie se forgeait une défense mentale contre les reproche qui, elle le savait n'allaient pas tardés à fuser.