Le Poème Inachevé...

Alors, voilà, la règle est toute simplette: on commence un poème, qui doit se terminer par une virgule, pi le suivant le continue, etc..
POur ne pas faire un roman, le poème doit faire quatre vers et quatre strophes!!

Je commence:

Très tard le soir,

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,
La douleur de mon chagrin.

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,
La douleur de mon chagrin.

Mes pensées s'envolent,

(poétique, Esmée??)

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,
La douleur de mon chagrin.

Mes pensées s'envolent,
Et mes doigts survolent,

[Bien sûr que oui! Tu ne le savais donc pas? xD Sinon, ma rime est plus que médiocre, mais je voulais garder les rimes embrassées. Cela fait bien plus poètique...^^]

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,
La douleur de mon chagrin.

Mes pensées s'envolent,
Et mes doigts survolent,
Le papier rigide et glacé,


(Non, non, c'est très bien, sisisisi je t'assure!! ^^)

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,
La douleur de mon chagrin.

Mes pensées s'envolent,
Et mes doigts survolent,
Le papier rigide et glacé,
Où l'encre avait sèchée.

[Merci, merci! xD Faut pas... Je commence déjà à avoir les chevilles qui enflent!^^]

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,
La douleur de mon chagrin.

Mes pensées s'envolent,
Et mes doigts survolent,
Le papier rigide et glacé,
Où l'encre avait sèchée.

Ces mots si joliment tracés,


(pourquoi les chevilles??)

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,
La douleur de mon chagrin.

Mes pensées s'envolent,
Et mes doigts survolent,
Le papier rigide et glacé,
Où l'encre avait sèchée.

Ces mots si joliment tracés,
Que mon esprit avait imaginé,

[Tu ne connais pas l'expression? xD En gros, je commence à prendre la grosse tête...^^ Toi aussi tu es très poètique! C'est rare...=D]

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,
La douleur de mon chagrin.

Mes pensées s'envolent,
Et mes doigts survolent,
Le papier rigide et glacé,
Où l'encre avait sèchée.

Ces mots si joliment tracés,
Que mon esprit avait imaginé,
étaient là devant moi,



(pourquoi rare?????)

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,
La douleur de mon chagrin.

Mes pensées s'envolent,
Et mes doigts survolent,
Le papier rigide et glacé,
Où l'encre avait sèchée.

Ces mots si joliment tracés,
Que mon esprit avait imaginé,
Etaient là devant moi,
Dont moi seul était le roi.

[Tu m'embêtes avec tes rimes nulles...xD]

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,
La douleur de mon chagrin.

Mes pensées s'envolent,
Et mes doigts survolent,
Le papier rigide et glacé,
Où l'encre avait sèchée.

Ces mots si joliment tracés,
Que mon esprit avait imaginé,
Etaient là devant moi,
Dont moi seul était le roi.

Posant un regard sur la vie,


(je t'embête, avec mes rimes, foutue vampire!)

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,
La douleur de mon chagrin.

Mes pensées s'envolent,
Et mes doigts survolent,
Le papier rigide et glacé,
Où l'encre avait sèchée.

Ces mots si joliment tracés,
Que mon esprit avait imaginé,
Etaient là devant moi,
Dont moi seul était le roi.

Posant un regard sur la vie,
C'est à toi que je dédie,

[et quand je dis "c'est rare", c'est qu'il n'y a pas beaucoup de garçons ayant l'âme poètique...^^]

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,
La douleur de mon chagrin.

Mes pensées s'envolent,
Et mes doigts survolent,
Le papier rigide et glacé,
Où l'encre avait sèchée.

Ces mots si joliment tracés,
Que mon esprit avait imaginé,
Etaient là devant moi,
Dont moi seul était le roi.

Posant un regard sur la vie,
C'est à toi que je dédie,
Ces mots palpitants,


(qui te dit que je suis un mec? Niark niarak niark)

Très tard le soir,
Perdu dans le brouillard,
J'effaçais de ma main,
La douleur de mon chagrin.

Mes pensées s'envolent,
Et mes doigts survolent,
Le papier rigide et glacé,
Où l'encre avait sèchée.

Ces mots si joliment tracés,
Que mon esprit avait imaginé,
Etaient là devant moi,
Dont j'étais l'unique roi.

Posant un regard sur la vie,
C'est à toi que je dédie,
Ces mots palpitants,
Que j'ai écrit au fil du temps.

[Fière de mon vers! =D]
Un deuxième poème pour l'éclate...

J'aurai pu t'oublier,

( Ouah, il est canon, xD)

J'aurai pu t'oublier,
Mais ce serait échapper,

J'aurai pu t'oublier,
Mais ce serait échapper,
Fuire mon douloureux passé,

J'aurai pu t'oublier,
Mais ce serait échapper,
Fuire mon douloureux passé,
Et je ne peux l'accepter.

J'aurai pu t'oublier,
Mais ce serait échapper,
Fuire mon douloureux passé,
Et je ne peux l'accepter.

Si seulement tu m'avais aimé,

J'aurai pu t'oublier,
Mais ce serait échapper,
Fuire mon douloureux passé,
Et je ne peux l'accepter.

Si seulement tu m'avais aimé,
J'aurais pu rester,

J'aurai pu t'oublier,
Mais ce serait échapper,
Fuire mon douloureux passé,
Et je ne peux l'accepter.

Si seulement tu m'avais aimé,
J'aurais pu rester,
Vivre heureux à tes côtés,

J'aurai pu t'oublier,
Mais ce serait échapper,
Fuire mon douloureux passé,
Et je ne peux l'accepter.

Si seulement tu m'avais aimé,
J'aurais pu rester,
Vivre heureux à tes côtés,
Sans désespérer.

J'aurai pu t'oublier,
Mais ce serait échapper,
Fuire mon douloureux passé,
Et je ne peux l'accepter.

Si seulement tu m'avais aimé,
J'aurais pu rester,
Vivre heureux à tes côtés,
Sans désespérer.

Je ne peux que pleurer,

J'aurai pu t'oublier,
Mais ce serait échapper,
Fuire mon douloureux passé,
Et je ne peux l'accepter.

Si seulement tu m'avais aimé,
J'aurais pu rester,
Vivre heureux à tes côtés,
Sans désespérer.

Je ne peux que pleurer,
Sans t'avoir à mes côtés,